Tawaf :
L’un des piliers du Hajj et de la Omra.
C’est un acte d’adoration envers Dieu qui démontre un besoin et une dévotion envers Lui avec le cœur et les membres.
Dans cette assemblée, le musulman fait le tour de Sa noble Maison – la Kaaba – pour adorer le Seigneur de la Maison et se rapprocher de Lui par ce qu’Il a prescrit.
Sa description est que le pèlerin ou l’accomplissant de la Omra commence sa circumambulation à partir du coin où se trouve la Pierre Noire, car il y a un panneau vert aux étages supérieurs l’indiquant.
À partir de ce point, le taif est agrandi au début de chaque nouvelle tournée. Il n’est pas nécessaire que le takbir soit exactement au même point, mais c’est plutôt une question approximative. Si le pèlerin ou celui qui accomplit la Omra se trouve au niveau de la Pierre Noire, alors il doit dire le takbir.
La façon de dire le Takbir est de pointer avec sa main vers la Pierre Noire, puis de commencer sa circumambulation avec la Kaaba à sa gauche (dans le sens inverse des aiguilles d’une montre). S’il est capable d’embrasser la Pierre Noire, alors il a accompli la Sunnah.
S’il n’est pas capable de le faire – pendant les saisons et pendant les périodes de forte affluence – alors il n’y a rien de mal chez lui. Il est recommandé à celui qui effectue la circumambulation d’augmenter sa supplication à Dieu et de L’implorateur.
Il lui est également recommandé, lorsqu’il atteint le coin qui précède la Pierre Noire, appelé le Coin Yéménite, de l’essuyer si…
C’est facile pour lui, et il le répète dans ses sept tours.
Conditions de validité du Tawaf :
Purification de l’impureté rituelle : Les érudits s’accordent sur la légitimité de la purification de l’impureté rituelle lors de la circumambulation, mais ils divergent sur sa nécessité. Français La majorité des juristes des écoles de pensée malékite, chaféite et hanbalite sont d’avis que la pureté de l’impureté rituelle est une condition de validité de la circumambulation, en se basant sur la parole du Prophète – que Dieu le bénisse et lui accorde la paix – à Aïcha – que Dieu soit satisfait d’elle – lorsqu’elle eut ses règles : « Fais ce que fait le pèlerin, sauf que tu ne circumambules pas la Maison jusqu’à ce que tu sois pur. »
Quant aux Hanafites, ils sont d’avis que la pureté est obligatoire dans la circumambulation, et c’est un récit de l’imam Ahmad.
Couvrir les parties intimes : comme dans la prière ; Si l’esclave effectue la circumambulation sans la couvrir, sa circumambulation est invalide selon la majorité des savants. Cependant, les Hanafites considèrent que couvrir les parties intimes est obligatoire et non une condition de validité de la circumambulation. La circumambulation n’est pas invalidée sans cela, sauf qu’un sacrifice de sang est requis. Tout mouton abattu.
L’ordre : c’est-à-dire qu’il fait le tour de la Kaaba vers sa droite et place la Kaaba à sa gauche. S’il fait le tour de la Kaaba et le place à sa droite, cela ne lui suffit pas et son tour n’est pas valide. C’est la situation selon la majorité. Quant aux Hanafites, ils disent que l’ordre est obligatoire dans la circumambulation, et que la circumambulation à l’envers est valide, bien qu’elle soit interdite, et qu’elle doit être répétée tant qu’on est à La Mecque. Sinon, il doit offrir un sacrifice.
Que la circumambulation soit faite autour de toute la Maison : S’il circumambule depuis l’intérieur du Hijr ou s’il circumambule son mur, cela ne lui suffit pas, et sa circumambulation n’est pas valide selon l’accord des quatre écoles de pensée.
Commencer la circumambulation à partir de la Pierre Noire et la terminer à celle-ci : S’il commence la circumambulation à partir d’un autre endroit, alors l’endroit d’où il a commencé n’est pas compté, mais plutôt à partir de la Pierre Noire. C’est ce sur quoi la majorité s’est mise d’accord. Quant aux Hanafites, ils considèrent que cela est obligatoire, et si le circumambulateur ne le fait pas, il doit alors le refaire tant qu’il est à La Mecque. S’il retourne dans son pays et ne le répète pas ; Il doit payer le prix du sang.
Intention :
Le Tawaf est un acte d’adoration intentionnel qui nécessite une intention. Français Selon la parole du Prophète (paix et bénédiction d’Allah sur lui) : « Les actes ne valent que par les intentions, et chacun n’obtiendra que ce qu’il a voulu. »
Donc, s’il n’avait pas l’intention de faire le tour de la Kaaba, mais plutôt de suivre quelqu’un ou pour toute autre raison, alors son tour n’est pas valide. Il n’avait pas l’intention d’accomplir le Tawaf, mais plutôt quelque chose d’autre.
1.Le Tawaf al-Ifadah
Le Tawaf al-Ifadah commence après le lever du soleil le jour de l’Aïd.
C’est l’un des piliers du Hajj, et sans lui, le Hajj n’est pas valide. Elle consiste en sept tours autour de la Kaaba, comme le dit Allah le Tout-Puissant : « Et qu’ils fassent le tour de l’Ancienne Maison » (Sourate al-Hajj).
Le Hajj a quatre piliers : Premièrement, l’Ihram (Ihram), Deuxièmement, se tenir à Arafat, comme le Prophète (paix et bénédictions sur lui) a dit : « Le Hajj est Arafat », Troisièmement, le Tawaf al-Ifadah autour de la Kaaba après s’être tenu à Arafat, et Quatrièmement, marcher entre Safa et Marwah, comme le Prophète (paix et bénédictions sur lui) a dit : « Certes, Allah vous a prescrit l’effort, alors efforcez-vous. »
2.Le Tawaf al-Ifadah
Est l’un des piliers convenus du Hajj.
Un pèlerin ne peut pas accomplir l’état d’ihram sans le faire, et rien ne peut le remplacer. Le pèlerin l’exécute après avoir quitté Arafat et passé la nuit à Muzdalifah.
Il vient ensuite à Mina le jour de l’Aïd, jette des pierres sur la Jamarat, égorge son sacrifice et se rase la tête.
Il se rend ensuite à La Mecque et accomplit le Tawaf al-Ifadah autour de la Kaaba.
Il existe cinq noms pour le Tawaf al-Ifadah : ils sont : Tawaf al-Ifadah, Tawaf al-Ziyarah, Tawaf al-Fadr, Tawaf al-Rukn et Tawaf al-Sadr.
Selon les érudits, le Tawaf al-Ifadah du Hajj commence après le lever du soleil le jour de l’Aïd.
Quant aux faibles, aux personnes âgées et aux femmes, cela commence après minuit la nuit de l’Aïd al-Adha, selon un groupe de savants.
Car le Messager (que Dieu le bénisse et lui accorde la paix) a donné la permission aux faibles de jeter des pierres dans la dernière moitié de la Nuit du Sacrifice, ainsi qu’à leurs disciples et à ceux qui les accompagnent, selon l’avis correct.
Définition du Tawaf d’adieu : Le Tawaf d’adieu est le dernier rituel du Hajj, où le pèlerin fait sept fois le tour de la Kaaba.
Le Tawaf d’adieu :
Le Tawaf d’adieu est appelé par ce nom ; Parce que c’est faire ses adieux à la Maison Sacrée, et cela s’appelle aussi Tawaf al-Sadr. Parce que ce sera le cas lorsque les gens quitteront la Mecque ; C’est-à-dire qu’en sortant de celui-ci, le pèlerin commence la circumambulation, revêtu de son manteau.
C’est-à-dire, en découvrant son épaule droite et en plaçant les extrémités de son manteau sur son épaule gauche, et en partant de la Pierre Noire, en lui faisant face avec son visage et tout son corps, et en disant : « Dieu est le plus grand. » Il lui est permis de dire : « Au nom de Dieu, Dieu est le plus grand. » Il est préférable pour lui de l’embrasser, et s’il n’est pas en mesure de le faire, qu’il le touche avec sa main, et s’il n’est pas en mesure de le faire, qu’il le montre du doigt.
Le Prophète (que Dieu le bénisse et lui accorde la paix) a fait cela, et il le fait à chacun des sept tours.
Tawaf d’adieu pour ceux qui sont pressés :
S’il est pressé de voyager et veut partir le douzième jour de Dhoul-Hijja, le deuxième jour de Tachreeq, il doit accomplir le Tawaf d’adieu le même jour et il doit quitter La Mecque sans y rester longtemps. S’il reste là un jour de plus, le Tawaf qu’il a effectué doit être annulé et il doit le refaire avant de partir.
Décision sur le doute concernant le nombre de tours du Tawaf d’adieu :
Le doute sur le nombre de tours du Tawaf survient soit avant d’avoir terminé le Tawaf, soit après l’avoir terminé.
Premièrement : Doute sur le nombre de tours du Tawaf avant de l’achever : Si la personne qui effectue le Tawaf doute du nombre de tours de Sa’i alors qu’elle l’effectue, elle doit agir en fonction de ce qui est certain.
C’est le minimum selon la majorité des juristes, et c’est ce que dit la fatwa.
Si quelqu’un doute s’il se trouve dans le cinquième ou le quatrième circuit, il doit supposer que le plus petit est le quatrième et compléter les circuits restants de la circumambulation.